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Paris Match

Une écriture limpide…

La Provence

Lettre confession […] qu’on ne peut plus lâcher

La Cause Littéraire

Un immense livre

Jean-Claude Perrier, Livres-Hebdo

Avec autant de réalisme que de délicatesse, Jean-Félix de La Ville Baugé questionne le monde… « Il faut tenter de vivre », disait Valéry. Magnifique devise pour Magnifique.

David Lelait-Helo, Femme Actuelle

Si ce roman est court, c’est qu’il contient la forme la plus concentrée de l’amour, son nectar…. Ce livre s’envole et nous élève. A-t-on vu déjà un roman et une héroïne si bien nommés ?

Gérard Collard, Sud Radio

Il y a des bouquins, comme ça, dans une rentrée… Ils sont tellement forts par les personnages et l’histoire qu’ils racontent […], leurs charismes… Ils arrivent à traduire en mot. Ça vous donne des images inoubliables, et ça affadit tout le reste.

Coup de cœur Furet du Nord

Digne de « PETIT PAYS » !

Librairie La Griffe Noire

Un roman d’exception. Unique. Surtout… NE FUYEZ PAS, comme j’ai été tenté de le faire, effrayé par l’horreur du sujet, vous passeriez à côté d’un des plus beaux moments littéraires et humains de cette année ! Dès les premières pages, vous serez happés. Ce livre redonne du sens au mot littérature.

Librairie Le Blason, Aix-en-Provence

Après avoir lu des titres plutôt noirs et assez longs ces dernières semaines, j’ai eu la chance de voir trois heures de solitude s’offrir à moi. Me voilà happée par le récit de Magnifique, impossible de lâcher l’ouvrage, j’ai plongé ! Quel talent !

Kiss Paris

Roman d’une délicatesse exceptionnelle

Stéphane Watelet, Rentrée Littéraire 2023

Pour un éditeur, Magnifique est un texte qui nous rappelle pourquoi on fait ce métier.

Paris Match

Le romancier fait revivre une Marilyn Monroe encore plus vraie. (…) Original et émouvant, ce livre est un voyage intérieur dans le monde de l’une des plus belles icônes qui continue de faire courir la terre entière…

Frédéric Airy, Librairie Lavocat, Paris

Cette voix, envoutante ô combien, qui, tantôt susurre, tantôt pleure, s’exalte, s’ennuie, se désespère, chante happy birthday; qui toujours clame son amour exclusif, est celle de Marilyn Monroe. Elle laisse son interlocuteur, JFK, silencieux. Le fantôme de l’absent vient néanmoins occuper tout l’espace et la jolie voix de Marilyn, par la plume délicate de JFVB, […]

Interview de l’auteur

J’ai essayé d’être à l’intérieur du corps blindé de drogues et d’alcool de la plus jolie fille du monde.

La libre Belgique

Entre deux cils obtient le Prix Trân.

Le Monde

Le plus terrifiant sans doute étant l’absence de paroles, venant d’un homme que l’on aime.

Le Canard enchaîné

Un premier roman à l’atmosphère d’un jour de pluie ensoleillé.

Le Canard enchaîné

Son premier roman « Entre deux cils » était un livre surprenant. Son second l’est encore plus. Très court mais terrible.

Le Figaro

Le romancier, pour un premier livre, a réussi son coup.

Valeurs actuelles

L’illustration symptomatique de ce que peut engendrer la mauvaise conscience occidentale.

Télé Z

Un livre concis où presque tout est dit en peu de mots et à voix retenue.

Le Figaro littéraire

Humour et désespoir : l’auteur a réussi son cocktail.

Côté Femme

Un roman d’errance et de désespérance. Intimiste et captivant.

La Montagne

Une prouesse.

Le Monde

Une autobiographie romancée, sous forme de confession.

L’Ardennais du Dimanche

Ce livre respire la sincérité.

Lire le jour et la nuit

Dès ses premiers mots, on est captivé par la voix hallucinée qui chuchote ici un étrange désarroi.

Revue du Centre culturel français de Phnom Penh

Un ouvrage salué par l’ensemble de la critique.

Cambodge Soir

Jean-Félix de La Ville Baugé reconnaît le pouvoir des mots et la gravité de la parole en tant qu’avocat comme en tant qu’écrivain. Il maîtrise les uns comme les autres avec un grand talent et beaucoup de sensibilité.

La Haute-Marne libérée

Au pays des Khmers rouges, il découvre les déchets de l’action humanitaire…

Revue du Mékong

Une leçon donnée de main de maître.

Elle

Cette confession provoque un profond malaise parce qu’elle nous entraîne dans un troublant jeu de miroirs. C’est un livre qu’on lit d’une traite et qu’on reçoit comme un coup de poing.

Télé Z

L’auteur a beaucoup à dire et le dit vite et haut dans ce petit livre dont l’expression est si personnelle et si prenante, si douloureuse, si dépouillée qu’on ne peut qu’admirer l’artiste.

Psychologie

Avec une remarquable économie de mots, l’auteur va droit au but, fouille la douleur, la dissèque, l’expose, et réussit un roman qui prend aux tripes avec une puissance cinglante. Troublant mais talentueux.

Biba

Monologue violent très retenu. Un roman bref mais qui marque.

Patrick Poivre d’Arvor, Marie-France

Un roman qui fait froid dans le dos.

La Presse de la Manche

Le thème ne supporte pas les extravagances de langage.

La libre Belgique

Le silence peut étouffer.

L’Essor sarladais

Tragédie du refus de savoir, ce très courts roman résonne comme un cri silencieux.

Le Maine libre

La violence affleure sous le calme d’une ironie cinglante.

Le journal de la Haute-Marne

Ecriture directe, précise.

Vidéo sur Web tv culture

« Qui êtes-vous Jean-Félix de La Ville Baugé ? »

Vidéo des Editions Plon

Vidéo de présentation du livre par l’auteur

Télé Z

Odyssée d’un grand duc à la dérive qui n’avait jamais vu de moujiks qu’a travers les vitres du wagon impérial, fiévreuse, poétique, noire, sanglante ou burlesque tour a tour.

La Liberté (Suisse)

Portrait décadent et tragique d’une certaine société russe. Bouillonnant, haut en couleur.

Le Figaro

Un récit halluciné sur la chute.

Livres Hebdo

Destinée capricieuse et tragique d’un personnage pris dans la tourmente de l’histoire racontée de manière brillante et subtile. 

François Taillandier

Le narrateur lucide, sceptique, sans illusion sur sa classe sociale ni sur quoi que ce soit d’autre ; l’évocation de la Révolution et de la guerre civile et de l’effroyable violence qui s’y déploie ; le ton, parfois poétique, parfois émouvant, parfois brutal ou empreint d’humour noir… Les poèmes qui jalonnent le récit… j’ai dévoré […]

Andreï Makine

Une fresque russe à la fois éclatée et très maîtrisée.

Michel Déon

C’est magistral et les changements de ton donnent vie à ce drame. Un grand livre qui ferme les portes.

Blog Imrama

Un roman superbe – dur, puissant et poétique, ponctué de dialogues à la limite de l’absurde et de poèmes d’une précision évanescente de haïkus, posés comme des perles dans la boue du monde pour dire, malgré tout le reste, sa beauté.

L’Affranchi

L’écriture est très belle. Il y a comme une musique (russe ?), suivies de respirations, avec des envolées, des passages poétiques et même des silences.

Jour de France

Pour son troisième roman, Jean-Félix de La Ville Baugé nous entraîne dans la chute d’un grand-duc de Russie.

Féminin

Je ne sais pas pourquoi j’écris.